Mon ami Word
Besoin de Word
Les illustrations et la première version imprimée du livre étant prêtes en même temps, je taquine mon traitement de texte pour :
- Insérer les illustrations (10 fichiers de 500ko)
- Effectuer des tas de (petites) modifications dans la mise en forme du texte (changer les en-têtes, les modèles de styles).
Fichier obèse
Mon traitement de texte ne se laisse pas taquiner. D'abord, quand on insère 10 images de 500ko à un fichier qui pèse déjà 5 Mo, on arrive à un mastondonte de 10 Mo. Juré.
Dans un mastondonte de 10 Mo, à chaque fois que je fais une fausse manoeuvre qui impacte tout le fichier, le machin met 10 plombes à redevenir vivant. Ça lasse.
Je prends des mesures
- Désactiver les sauvegardes automatiques. Cela pourrait contribuer à diminuer la taille du fichier. Ça marche pas.
- Scinder le fichier en deux parties. Constater que chacune des parties pèse désormais 5 Mo. Jusque là, ça va.
Se poser des questions
- Mais comment je vais faire pour garder la table des matières commune aux deux fichiers? Cela semble possible (du moins avec certaines versions du Word), mais un peu compliqué pour moi.
- Et si je mets à jour un modèle de style, comment faire pour que le changement soit reflété dans les deux documents? Sûrement en utilisant un fichier modèle (les .dot ?), mais avant que j'arrive à me servir de ça, la neige aura fondu.
Retour case départ
Je récupère mon fichier obèse et prends la décision de faire gaffe avant de lancer une modification qui aurait un effet sur tout le document (genre : modifier les en-têtes ; appliquer par inadvertance une modification de format à une portion de texte dont le modèle/style qui comporte l'option de "mise à jour automatique")
Pas de questions svo
- Ne pas me demander pourquoi je n'utilise pas Open Office: ai besoin de Word pour mon boulot, j'ai déjà assez de mal comme ça.
- Ne pas me demander pourquoi je ne me forme pas sérieusement au traitement de texte. D'abord, chui pas si nulle, et puis j'ai souvent (une ou deux fois) demandé à mon chef de me payer une formation, mais ça l'a toujours fait rire.
Les illustrations et la première version imprimée du livre étant prêtes en même temps, je taquine mon traitement de texte pour :
- Insérer les illustrations (10 fichiers de 500ko)
- Effectuer des tas de (petites) modifications dans la mise en forme du texte (changer les en-têtes, les modèles de styles).
Fichier obèse
Mon traitement de texte ne se laisse pas taquiner. D'abord, quand on insère 10 images de 500ko à un fichier qui pèse déjà 5 Mo, on arrive à un mastondonte de 10 Mo. Juré.
Dans un mastondonte de 10 Mo, à chaque fois que je fais une fausse manoeuvre qui impacte tout le fichier, le machin met 10 plombes à redevenir vivant. Ça lasse.
Je prends des mesures
- Désactiver les sauvegardes automatiques. Cela pourrait contribuer à diminuer la taille du fichier. Ça marche pas.
- Scinder le fichier en deux parties. Constater que chacune des parties pèse désormais 5 Mo. Jusque là, ça va.
Se poser des questions
- Mais comment je vais faire pour garder la table des matières commune aux deux fichiers? Cela semble possible (du moins avec certaines versions du Word), mais un peu compliqué pour moi.
- Et si je mets à jour un modèle de style, comment faire pour que le changement soit reflété dans les deux documents? Sûrement en utilisant un fichier modèle (les .dot ?), mais avant que j'arrive à me servir de ça, la neige aura fondu.
Retour case départ
Je récupère mon fichier obèse et prends la décision de faire gaffe avant de lancer une modification qui aurait un effet sur tout le document (genre : modifier les en-têtes ; appliquer par inadvertance une modification de format à une portion de texte dont le modèle/style qui comporte l'option de "mise à jour automatique")
Pas de questions svo
- Ne pas me demander pourquoi je n'utilise pas Open Office: ai besoin de Word pour mon boulot, j'ai déjà assez de mal comme ça.
- Ne pas me demander pourquoi je ne me forme pas sérieusement au traitement de texte. D'abord, chui pas si nulle, et puis j'ai souvent (une ou deux fois) demandé à mon chef de me payer une formation, mais ça l'a toujours fait rire.